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memento mori

17 août 2005

la rentrée

Voilà, la rentrée est arrivé, tous à l'école, c'est la merde mais c'est comme ça, c'est parti pour une 3e et dernière (j'espère) année dans cette putain d'école de commerce, mais bon, le pire, c'est les examens finaux, la remise des diplômes, la libération. Et le mieux, bah c'est bien sûr de revoir des personnes qu'on avait pas vu depuis longtemps, celle qu'on aime, vraiment, depuis 2 ans sans discontinuer, malgré les petits aléas de la vie qui vous font déviez vers d'autres à force de désespérer, ce qui, comme on peut le lire si dessous, fini souvent plus mal qu'autre chose, mais bon c'est du passé, j'ai revu Mona, ma Mona, le reste, j'en ai plus rien à battre, c'est comme ça.

En parlant d'elle, je peux en parler vu qu'elle risque pas de tomber ici, alors voila, Mona, la personne la plus merveilleuse que j'ai jamais rencontré, mon avis n'est peut être pas trop, comment dire, je trouve plus le mot mais euh, objectif voilà, mais bon, je dois bien avouer que je suis jamais tomber sur quelqu'un d'aussi magnifique, vraie, libre, naturelle, belle, intelligente, souriante, je pourrais en sortir encore 20, tellement j'ai l'impression qu'elle a toutes les qualités, la perfection n'existe pas, mais à mes yeux, si elle devait incarner quelqu'un, ça serait elle.

Malheureusement (ou heureusement, je sais pas, à choix), elle n'éprouve pas les mêmes sentiments que moi, mais c'est pas grave, tant que je passe du temps avec elle, c'est le principal pour moi, c'est ce qui me rend heureux, de savoir que je vais aller manger avec elle à midi le mardi et le vendredi à la crêperie, de savoir qu'on va aller boire un verre au Casablanca un autre jour de la semaine, c'est tout simplement ce qui me motive à continuer cette école. Et le fait de se voir, entre potes, de fumer un petit joint a midi avant les cours, un ou deux autres petits à la mare ou au Casablanca après les cours, avec le Ludo, l'Emma, le Jonathan, et la Mona, bref, rien que ça, c'est ce qui me fait continuer cette école, c'est comme ça.

Pour ce qui est dur reste, demain, 2e jour où je devrai écourter mon sommeil, mais bon, quand je pense que je devrai faire sa encore pendant 35 semaines avant la fin définitive, c'est rien, mais bon, le lever, bosser, ensuite l'après-midi de congé, et pour finir l'entraînement de foot en soirée, qui sera, je l'espère, tranquille, mais je pense que ça ira, vu qu'on a remporter la Coupe de la Vallée hier, ça risque d'être la fête.

Et puis sinon voilà, moi je m'en vais regarder un de mes films préférés, l'Effet Papillon, et aller gentiment, dormir, alors, bonne...

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12 août 2005

...

Je suis désolé, peut-être (voir surement) que je t'ai déçu, peut-être que je t'ai dégouté, mais pense à tout ce que tu m'as fait, et tu verras que tu aurais fait pareil.

C'est comme ça, oublie moi, tu l'as bien réussie un moment, tu as même réussie à me mentir, alors voilà, je pense que tu devais t'y attendre, et je te l'avais dis en plus, que si tu allais avec lui je t'éviterais, comme ça n'a pas suffit, je le fais, c'est plus simple, là tu comprendras.

C'est le dernier message que je t'envois, je pense, vu que tu vas essayer d'aller avec lui maintenant (à moi que tu es déjà essayée et que c'est déjà trop tard). En tout cas, plus rien ne te retiens maintenant, même pas moi, tu es libre, fait ce qu'il te plait.

Quoique si tu change d'avis, je serai là, toujours. Mais vu que tu changeras pas, voilà quoi.

Et ne pense pas que je suis un salaud stp, je t'ai toujours dit la vérité moi, je t'ai toujours dit ce que je pensais, je t'aimais, je t'aime encore, et je t'aimerai, malgré ce que tu vas faire, mais je préfère ne pas être là que tu me diras que tu es avec lui, c'est comme ça.

Encore une chose, ne regrette rien, assume, quoi qu'il arrive, je te souhaite qu'il en vaille la peine, et je pense que tu le sais, au fond de toi, il y a pas la place pour deux personnes, et comme il faut croire que tu as déjà fait ton choix, voilà quoi.

Au cas où, si tu veux me voir ce soir, dis le moi, on ira boire un verre, mais bon, tu seras sûrement occupé alors voilà, c'est juste comme ça que je te dis ça, comme ça tu sais que si t'as envie de faire un tour, bah voilà. Même si tu le feras pas, vu que tu sors demain.

Donc... ciao papillon

11 août 2005

Toi

T'es quoi ? une salope ou bien ?
Enfin bref, moi, je te laisse. Quand t'en a envie, tu me montres très bien que t'en a rien à foutre de moi, c'est bon, j'ai compris le message. Oublie moi, c'est fini.
Tu as réussie ton coup t'es contente ? Maintenant tu me dégoutes, tu m'as coupé l'appetit, et maintenant c'est limite si tu ne me fais pas gerber.
Bref, j'en ai marre d'être là que quand ça te chante, maintenant ça marche plus comme ça, je ne te connais plus...

9 août 2005

refl.

L'apparence n'est fait que pour masquer les lacunes de l'âme

tout ce qui est artificiel n'est que secondaire, une chose compte, soi, ce qu'on est à l'intérieur, le naturel est la base.

9 août 2005

Manu Chao - La vie à 2

Donnes moi de quoi tenir
Tenir je ne veux pas dormir
Dormir laisses moi voir venir le jour...
Notre vie à deux s'arrête donc là
Dans les grandes plaines à jouir
D'une vie qui ne veut plus rien dire
J'espère ne plus jamais faire souffrir
Quelqu'un comme je t'ai fait souffrir
Je n'étais qu'un mauvais présage
On s'est aimé
Puis vint l'orage
Moi qui aimais tellement ton sourire...
J'espère ne plus jamais faire souffrir
Quelqu'un comme je t'ai fait souffri
r
Pourquoi, pourquoi même quand les gens s'aiment
Il y a, il y a toujours des problèmes ?

Fallait pas qu'on se connaisse
Fallait pas qu'on soit deux
Fallait pas se rencontrer et puis tomber amoureux
Notre vie à deux s'arrête donc là
Là où les dieux ne s'aventurent pas
Moi qui aimais tellement ton sourire...
Pourquoi, pourquoi même quand les gens s'aiment
Il y a, il y a toujours des problèmes ?


Moi qui aimais tellement ton sourire
Je n'entends plus que tes soupirs
J'espère ne plus jamais faire souffrir
Quelqu'un comme je t'ai fait souffrir

Moi qui aimais tellement ton sourire
Je n'entends plus que tes soupirs...
Donnes moi de quoi tenir
Tenir je ne veux pas dormir
Dormir laisses moi voir venir le jour...

Il est minuit à Tokyo
Il est cinq heure au Mali
Quelle heure est-il au paradis ?

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9 août 2005

Dans ma tête, maintenant

Instant de solitude, retour aux sources, retour aux racines, Un banc, un train, par terre... Une feuille, un stylo, de la musique, des clopes, longue attente qui se profile, en attendant l'appel de quelqu'un, de n'importe qui, de quelqu'un de bien particulier. 00 h 13, quelque part sur cette planète, je pense à elle, elle, j'ai l'impression qu'elle m'a perdu, oublié, je l'ai perdue, définitivement, peut-être, c'est bien fait pour ma gueule, toute chose est éphèmère, alors pourquoi s'y attacher. Pourquoi, je suis perdu sur cette terre, abandonner de tous, à moins que se soit moi qui les ai abandonnés. Bref, aucune importance, le principal, survivre, se forcer à vivre, en attendant mieux.

J'ai envie de pleurer, mais je n'y arrive pas, ça fait tellement longtemps, j'ai mal, moi et ma putain de sensibilité à 2 balles, merde. Ras le bol, lâcher mes larmes, quand le pourrais-je ?

Il y a du mouvement, je suis prié implicitement de foutre le camp. Interruption, 00 h 21, je m'éclipse, et vais voir ailleurs si j'y suis, je ne cherche plus l'affrontement.

01 h 03, le temps passe, tout passe, je me suis promener un petit moment, je viens de lui écrire un énième message, on verra bien, je sais pas où j'en suis, je sais pas quoi penser, je suis paumé, je suis perdu, je t'ai peut-être perdu. Toute chose est éphemère, la seule chose a retenir : ne jamais s'attacher à quoi ou à qui que se soit, quoiqu'il arrive, tellement facile à dire, carrément impossible à faire. Le remède ? la mort ? même pas en rêve.

Bon, une clope, histoire de se réchauffer, vivement l'hiver au passage, Noir Désir dans mes écouteurs, encore, toujours. 01 h 22, je sais pas quoi faire, j'écris, ça passe le temps, on est lundi, je suis torturé par mes sentiments, je suis passé par tout avec elle, de la joie à la tristesse, de la haine à la jalousie, du bonheur au malheur. La seule chose que je n'ai pas encore ressenti, c'est l'indifférence, j'aurais voulu, parfois, mais autant demander à une vache de pondre un oeuf, vous verrez, elle vous enverra gentiment chier, et bien pour mon indifférence qui marche pour presque tout, c'est pareil. Mais voilà quoi, on fait avec.

J'ai fumé un paquet aujourd'hui, en 12 h, certains voir beaucoup me disent que je fume trop (même ma mère), mais disons que ça me libère l'espace d'environ 8 minutes, et que c'est un bon coupe-faim. Mais faut que je me calme quand même un peu sur ma consommation.

Il sonne 01 h 30 au clocher de l'église de Delémont, déjà, le temps passe vite et tellement lentement, il s'accélère pour ralentir aussitôt qu'on y pense. Et moi, seul dans la nuit, j'écris, j'erre dans ma ville désertée à la recherche d'une âme pareille que moi, mais je n'en trouve point. A croire que je suis le seul à ressentir ce que je ressens à l'instant : un mal-être profond, causer par être que j'aime profondément, et cela depuis près de 2 jours maintenant.

En attendant que le ciel s'éclercisse au-dessus de mon pauvre esprit, je me dis que ça va passer, et que le chemin qui mène au Salut est parsemé d'obstacles de tout genre, c'est comme cela que l'on dit je crois.

Seul dans la nuit, je me rend compte que je m'accroche à l'être qui compte le plus pour moi en ce moment précis...


Il est 03 h 22, je pense, toujours, j'ai fini d'écrire, je suis de retour dans ma chambre, après avoir longuement patienter avant qu'un conducteur est la bonté de me prendre en stop, je le remercie gracieusement d'ailleurs, et pour le reste, il est temps d'aller me coucher, bonsoir, bonne nuit, bonne fête, bonne matinée, et tous ce que vous voulez pour vous souhaiter une bonne journée.

19 juillet 2005

nouveau départ

Voilà, je refais un blog, j'abandonne mon ancien, qui au passage se trouvait chez skyrock (radio de merde si vous voulez mon avis), voilà l'ancienne adresse si vous voulez y faire un tour, mais bon voilà quoi. -->skyblog

Je trouve cet ébergeur bien mieux à première vue, ça me plait bien, bon je me demande encore ce que je vais bien pouvoir mettre là mais bon, on verra, improvisation

à la proch.

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